eBook Téléchargement ebook sans DRM
7,49

Téléchargement immédiat
Dès validation de votre commande
Ajouter à ma liste d'envies
Image Louise Reader présentation

Louise Reader

Lisez ce titre sur l'application Louise Reader.

Description
L’Algérie trahie par l’Argent : ce n’est pas tout le problème algérien, c’est un de ses aspects essentiels.. Les grands habiles qui, pour sauver leurs avantages particuliers, ont déjà tant compromis de valeurs françaises, trouvent qu’aujourd’hui l’Algérie coûte trop cher à défendre. Peu importe que, si la France perd l’Algérie et si cette perte de l’Algérie entraîne l’effondrement de toutes nos possessions d’Afrique noire, la civilisation européenne tout entière soit mise en péril. Ils ont déjà pris leurs dispositions. Ils ont prévu pour leurs biens particuliers des « placements de refuge » au delà de l’Océan... C’est là — Beau de Loménie est le seul à le dénoncer — la plus grave des faiblesses qui dominent aujourd’hui notre politique algérienne.
Pages
136 pages
Collection
n.c
Parution
1957-01-01
Marque
FeniXX réédition numérique (Éditions Etheel)
EAN papier
9782307015680
EAN EPUB SANS DRM
9782307015680

Prix
7,49 €

Beau de Loménie : Il n’est personne aujourd’hui, dans les milieux cultivés, qui ne reconnaisse son autorité d’historien, son indépendance et sa verve de polémiste, chroniqueur de notre société contemporaine. Historien, avec ses grands ouvrages : La Carrière Politique de Chateaubriand, la Restauration Manquée, la Mort de la Troisième République, Maurras et son Système, et la série encore inachevée des volumes qu’il a intitulés : « Les Responsabilités des Dynasties Bourgeoises », il a ouvert des vues très neuves sur la structure française et sur le jeu des grandes influences financières qui ont établi leur propre pouvoir sur l’affaiblissement de l’autorité gouvernementale. Journaliste, il a défendu les causes qu’il estimait justes sans se soucier de déplaire aux intérêts souvent puissants qu’il s’exposait à dresser contre lui. L’exemple le plus frappant de cette indépendance insoucieuse des profits, il l’a donné quand, dans les lendemains de la Libération, lui qui n’avait eu aucune attache avec Vichy ni avec la collaboration, il a été le premier et longtemps le seul, dans la presse, à énoncer, en les signant de son nom, des mises au point contre les accusations dont chacun alors, à qui mieux mieux, accablait les vaincus. Cette fois-ci, à nouveau, à propos du drame algérien, il ose dire ce que nul n’ose avouer.

Suggestions personnalisées