Jean-Marie Lathieyre est un diseur d’aventures. Son pacte avec la Lune le condamne. En effet, on ne retrouve pas par hasard les landes d’ajoncs et de bruyères des surplombs, les flancs de genévriers enlacés debout, les piètres arbustes centenaires de rocaille, ou la ronceraie imprenable bousculée par une excroissance de noisetiers sauvages. Pour sa défense, il aimerait que les amoureux de la chasse y retrouvent leur âme. Celle du conteur poète y gagnerait en verbe. Un allié dans ce français qu’il enseigna. Un tyran dans cette écriture qui le hante.