Pierre Lucien Bertrand, après des études littéraires, fait paraître un premier ouvrage, « Le hasard et les mots » (L.P.U. 1976), disponible encore à son adresse, puis « Lucien n’a jamais vu la mer » (L’Athanor 1978) sélectionné pour le prix Prométhée, épuisé puis réédité. Il entre à l’Académie des lettres et des arts du Périgord, à l’Académie historique et archéologique de la Dordogne, et devient rédacteur, chroniqueur et critique littéraire de plusieurs revues et journaux (Les magazines de France, le Courrier de la Dordogne, etc.). Libraire, il vient de créer une maison d’édition, P.L.B. éditeur, dont le premier ouvrage vient de sortir. La proséie pourrait bien être, en cette fin de siècle, une écriture, un mouvement d’une importance capitale, sinon le véritable dernier recours pour sauver le livre.